DISKCARD Récupération de données 100% Libre

DISKCARD & VODATA SIREN : 788545481 - R.Sabatier


Derrière l'entreprise, l'humain


Créée en janvier 2010 , Diskcard est avant tout le résultat d'une démarche personnelle.

décoratif
Je suis Rémy Sabatier. Ceux qui veulent en savoir plus sur moi consulteront à leur gré dans la rubrique "documents pratiques" mon curriculum vitæ, mon profil linkedin, ou tout autre recherche donnant résultat sur la toile. N'hésitez pas à me contacter pour toute question à ce sujet, j'alimenterai cette page au fur et à mesure sous la forme d'une Foire Aux Questions personnelles.

Diskcard est aussi le résultat d'une démarche d'être humain. C'est suite à des échanges avec une entreprise leader du secteur, des aides reçues et portées sur des forums, des rencontres autour "du libre", que j'ai décidé de proposer mes services et mes compétences de manière professionnelle, en me déclarant auto-entrepreneur. L'entreprise a ensuite évolué vers un statut d'EURL depuis 2012.


À titre d'exemple, et de mémoire, voici le texte de présentation que j'envoyais à mes premiers clients :

RmY :

« Voici donc "librement" et en toute transparence qui je suis et ce que je fais :

Je suis Rémy SABATIER, alias rmy sur le forum ubuntu-fr. Au départ pour moi, puis pour aider les autres, j'ai fini par acquérir un certain nombre de compétences dans le domaine de la récupération de données. Cela m'amène actuellement à envisager une reconversion professionnelle, et je suis donc dans une situation originale : mi-enseignant d'EPS, mi-récupérateur de données.

J'interviens sur tout type de support (disque dur, carte APN, CD&DvD, clé usb) et pour toute sorte de problème (récup de données supprimées, de partition formatées, de disques endommagés, réparation de pcb... il m'est même arrivé de swapper les têtes d'un disque).

J'ai créé mon entreprise en janvier 2010 en tant qu'auto-entrepreneur (SIREN 519547178), et j'ai tout de suite pris le parti -et fait le pari- de m'adresser à un public pour lequel la plupart des entreprises déjà installées du secteur montrent un intérêt modéré : le grand public. Leurs tarifs, à la hauteur de leurs investissements, rebutent souvent les particuliers. Je me propose donc de tenter de récupérer les données de chacun à un tarif raisonnable, puisque le prix est libre.

Le prix libre, qu'est-ce que c'est ? Libre, c'est différent de gratuit. C'est vrai pour les logiciels, ça l'est aussi -différemment- pour ma facturation. Ma démarche est la suivante :

Un client m'envoie son disque.
Après réception et ouverture "administrative" d'un dossier pour le suivi, je réalise un diagnostic gratuit. Pas de piège, il n'y a rien à payer pour ça. Je propose ensuite un devis horaire. Celui-ci n'est pas chiffré, il présente juste qualitativement la quotité horaire estimée pour le travail et ce que j'estime réalisable ou non, ainsi, en toute transparence, que les frais auxquels je vais être soumis par la suite. Le client me retourne alors une proposition tarifaire que j'accepte très souvent si elle est raisonnable. Cette proposition est un engagement moral approximatif.
En cas d'accord, je réalise la prestation. À chaque étape, le client est tenu au courant de mes avancées. Je fais un effort pour que la communication soit la plus complète possible. Je peux réduire la quantité d'information sur demande si le client s'en trouve importuné, mais je préfère -pendant la durée de la récupération- qu'il y ait trop d'info que pas assez. En particulier, rien ne sera effectué sur le disque qui puisse mettre en péril la pérennité des données sans un accord explicite et éclairé de la part du client. De même, aucun investissement matériel éventuellement nécessaire à la récupération n'est effectué sans accord explicite.
Ensuite, je retourne les données qui ont pu être récupérées. Il y a différentes possibilités pour cela au cas par cas (même support si possible, autre support si l'autre était déjà endommagé, téléchargement sur serveur sécurisé en cas d'urgence etc...)
Enfin, je demande au client confirmation de la somme qu'il va me régler avec le fonctionnement suivant : dans tous les cas, la somme doit être différente de l'engagement moral de départ. Le prix libre, c'est avant tout la formule "satisfaction x moyens financiers". Ainsi, j'espère un versement supérieur à l'engagement de départ, à hauteur de la satisfaction et des moyens, si mes résultats sont positifs. Sinon, en cas de déception, la somme peut être inférieure, voire nulle.
J'édite alors une facture à réception du paiement, ou pour réclamation de celui-ci. Le versement peut-être effectué en chèque, par virement, ou par paypal.

Bien sûr, si mon diagnostic fait état de mon incapacité (matérielle ou de connaissances) à réaliser la prestation, je ne prends aucun risque. Je propose au client de transmettre son matériel à une entreprise partenaire, sans aucune obligation de sa part. Sinon, je retourne le matériel dans les mêmes conditions qu'il m'a été adressé, aux frais du client. Dans ce cas il n'y a pas de facture éditée puisqu'il n'y a pas de prestation.

Voilà !

À toi de me dire maintenant si tu veux que je me penche sur ton cas de récupération, et n'hésite pas à faire passer le message autour de toi. Je ne fais pas de publicité pour l'instant et me contente du bouche à oreille pour gérer progressivement le lancement de l'entreprise.»



Note de mise à jour : Pour éviter les trop nombreuses relances de règlement de prestation, l'étape d'évaluation du travail, et de règlement, précède désormais le retour des données.